Il y a quelques pays dans le monde où WhatsApp est si grand, près de la moitié de sa population utilise le service pour les communications quotidiennes. Le Brésil est l’un d’entre eux, et un juge dans le pays a commandé les entreprises de télécommunications de l’arrêter pendant 72 heures.

Sadder nouvelles est que tout cela est dû à la chiffrement axée sur le consommateur de bout en bout introduit récemment par WhatsApp, que les autorités ne peuvent pas l’air de comprendre comment cela fonctionne. Juge Marcel Montalvao de l’Etat brésilien de Sergipe a commandé une panne de 72 heures sur le service parce que l’entreprise Facebook appartenant ne serait pas retourner dans le chat dossiers relatifs à une enquête sur la drogue.

L’argument de WhatsApp est simple! Ses messages sont livrés avec les cryptages debout en bout, ce qui signifie nul autre que l’émetteur et le récepteur sont en mesure de les voir; pas même ceux qui ont un accès complet à l’ensemble de l’ infrastructure que l’application a. Chef de la direction de l’ entreprise et co-fondateur Jan Koum a clairement dit qu’ils ne possèdent pas les informations demandées par les autorités brésiliennes.

Grâce à un poste Facebook, il a également transmis que l’entreprise a «pas l’intention de compromettre la sécurité» de son milliard d’utilisateurs dans le monde. Il a également assuré que son équipe travaille pour obtenir WhatsApp à nouveau opérationnel le plus tôt possible.

Le Brésil a une population d’environ 200 millions, 100 millions parmi lesquels se trouvent être les utilisateurs WhatsApp et sont touchés par cette interdiction. Malheureusement, ce n’est pas même la première fois qu’un tel incident se produit dans le pays.

En Décembre l’année dernière, le même juge avait ordonné que le service soit descendu apparemment parce qu’il a refusé de prendre vers le bas des photos illicites des mineurs. Et dans un autre indécent ce Mars, les autorités ont arrêté l’Amérique latine VP Diego Dzodan Facebook sur ne pas remettre les données utilisateur.

Même alors, la seule réponse Facebook avait été que le chiffrement de bout en bout ne leur permet pas d’accéder aux données en question. L’arrestation était d’autant plus ridicule parce que, bien que Facebook possède WhatsApp, le service de messagerie fonctionne toujours comme une entité distincte.

Avec le cas Apple vs FBI encore fraîche dans nos esprits, ce nouveau développement au Brésil a apporté le focus sur le sujet de la sécurité sur Internet. Mais le juge ne pas comprendre le sens de base de chiffrement de bout en bout, ce cas est vraiment devenu plus d’une question de rire.

Source : TechCrunch

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici